Selon Akher Khabar, environ 1100 agents des institutions sécuritaire et militaire seraient suspectés d’extrémisme depuis 2012 et jusqu’en 2016.
La même source, qui cite d’autres sources bien informées, explique que parmi ces agents, il y aurait ceux qui sont impliqués dans des affaires de terrorisme et ceux qui auraient été recrutés par des éléments takfiristes afin de leur prodiguer des informations secrètes permettant d’avoir accès à nos institutions sécuritaires.
Toujours d’après la même source, certains de ces agents auraient démissionné alors que d’autres auraient été congédiés de leur fonction.