Le porte-parole du ministère de Première instance, Sofiène Sliti, a déclaré que les extrémistes de nationalité Tunisienne qui sont de retour des zones de conflits sont une mine de renseignements. Selon le porte-parole, l’Etat doit exploiter ces informations.
Certains extrémistes arrêtés ont partagé des détails sur d’autres terroristes qui n’étaient pas connus des services militaires.
Lire aussi :