
Des composantes de la société civile les ont rejoints à 500 mètres de la frontière libyenne pour les dissuader de poursuivre leur chemin et éviter une confrontation avec les unités militaires stationnées dans la zone.
Lachiheb décrit la situation de critique nécessitant une intervention urgente du gouvernement pour trouver une solution au blocage de la circulation de la marchandise via Ras Jedir.
A Ben Guerdane, les protestations ont repris, cet après-midi, après une accalmie, durant la matinée. Les sages de la ville tentent d’apaiser les esprits et d’inciter les manifestants à garder leur calme afin de ne pas ouvrir de brèche aux terroristes qui cherchent à poursuivre leur projet avorté en mars 2016.




