Le secrétaire général du parti Tunisie Volonté (Al Irada) Imed Daimi a indiqué qu’aucun obstacle juridique ne s’oppose désormais à la fusion entre le Congrès pour la République (CpR) et le parti Al Irada après le non-lieu prononcé dans l’affaire portée devant la justice par Abdelwaheb Maatar et Samir Ben Amor pour demander l’arrêt de la décision de fusion issue du conseil national.
Le tribunal de première instance de Tunis a jugé la plainte irrecevable dans le fond et décidé de faire supporter aux plaignants les frais et honoraires dus aux avocats, a déclaré lundi Imed Dami à l’agence TAP.
Après le jugement rendu le week-end dernier, le CpR n’a plus d’assise légale et quiconque parle en son nom est un imposteur, a-t-il averti.
Les dirigeants du CpR Abdelwaheb Maatar et Samir Ben Amor avaient intenté un procès contre le secrétaire général du parti Imed Daimi demandant le rejet des décisions issues du conseil national du parti tenu le 13 février 2016 qui avait décidé la fusion entre le CpR et Al Irada.