Après la rencontre qui a eu lieu vendredi 18 novembre à Tunis entre le chef d’État Béji Caïd Essebsi et les victimes de l’attentat du musée du Bardo, qui ont fait le déplacement , plusieurs d’entre eux ont exprimé leur mécontentement voir leur étonnement quant à l’attitude du président tunisien envers eux.
Interrogée par le média français, Anne-Sophie Tinois, qui a perdu son père le 18 mars 2015 lors de l’attentat, s’est dit choquée par les propos de son interlocuteur «c’est la vie…» a-t-elle rétorqué suite à ce qui s’est passé lors de l’attentat du 18 mars 2015.
De son côté, Hassan Arfaoui, conseiller du président de la République chargé des affaires culturelles, a démenti ce qu’a révélé le quotidien français Le Parisien, indiquant que “les familles et représentants des victimes qui étaient présents auprès du Chef de l’État vont révéler la vérité de ce qui s’est passé dans un communiqué qui sera bientôt rendu public”, a-t-il expliqué aux médias.
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