Suite aux coupures lors de la diffusion de la première séance d’audition de l’IVD des victimes d’oppression qui s’est déroulée, jeudi 17 novembre 2016, en direct à la Télévision nationale, cette dernière a expliqué, dans un communiqué, que le tournage et la production de cette première séance ont été pris en charge par l’IVD elle-même. De ce fait, la Télévision nationale s’est contentée de transmettre le signal mis à sa disposition par la société de production privée qui a signé un contrat avec l’instance.
N’empêche, la Télévision nationale a présenté ses excuses aux téléspectateurs et assure qu’elle fera tout son possible pour éviter ce genre de désagrément lors de la diffusion des autres séances.