L’entraîneur national adjoint Hatem Missaoui a estimé qu’un “schéma tactique équilibré en défense et en attaque sera la clé de la victoire sur la Guinée”, dimanche à Monastir en match comptant pour la première journée des éliminatoires de la coupe du monde 2018 (Zone Afrique, groupe A).
L’adjoint de Kasperczak a souligné à l’agence TAP, vendredi peu avant le début de l’avant dernière séance au stade Mustapha Ben Jannet, que le onze national “doit mener au score en imposant son rythme de jeu et ne pas laisser l’adversaire prendre le dessus”.
“Le match de dimanche sera différent de celui face au Liberia (CAN 2017) car la Guinée va mettre tous ses moyens en jeu pour jouer les premiers rôles dans la Poule A et miser sur la première place qualificative pour le Mondial russe”, a-t-il ajouté.
Hatem Missaoui a reconnu que “la coupe du Monde est un gros enjeu pour tout joueur ambitionnant de terminer en apothéose son parcours car certains joueurs risquent de rater ce rêve en raison de leur âge, ce qui ne manquera pas de les sur-motiver pour décrocher les trois premiers points de la victoire”.
Interrogé sur l’adversaire guinéen, l’entraîneur national adjoint a précisé que le Syli national “compte des joueurs de grandes qualités techniques dont certains ont affronté la Tunisie lors du championnat d’Afrique des joueurs locaux (2-2)”.
“Parmi ses atouts son invincibilité face aux équipes nord-africaine et reste capable de faire la différence à tout moment, ce qui importe par conséquent de ne pas lui laisser l’occasion de prendre l’ascendant”, a-t-il souligné.
Hatem Missaoui a relevé que “la sélection tunisienne est consciente de l’importance de l’enjeu et aura l’avantage du terrain pour rééditer ses performances sur la pelouse du stade Mustapha Ben Jannet où elle a pris l’habitude de livrer de belles prestations et doit bien entamer les éliminatoires d’autant qu’elle sera massivement soutenue par ses supporters”.
Le match Tunisie-Guinée dont le coup d’envoi sera donné dimanche à 18h00 au stade Mustapha Ben Jannet sera dirigé par l’arbitre burundais Thierry Nkurunziza.