
“A la lumière de ces négociations, Petrofac pourra revenir sur sa décision de quitter définitivement la Tunisie”, a estimé la même source.
“Petrofac a ordonné, mardi matin, ses cadres administratifs et ouvriers à Sfax de quitter le siège social et de fermer les portes de la société”, a ajouté la même source.
Réunis le 8 septembre, le Conseil d’administration de Petrofac a décidé d’arrêter ses activités à l’île de Kerkennah (gouvernorat de Sfax) le 20 septembre courant, suite aux protestations sociales répétées. Pourtant, la société avait repris normalement ses activités en juin dernier.




