Le gouvernement tunisien a promis de trouver une solution avec la partie algérienne au sujet de la taxe imposée sur les véhicules, a déclaré le chargé de l’information au parlement Mongi Harbaoui.
Il a précisé que cette question sera soulevée dans la prochaine loi des finances. Une loi ne peut être annulée que par une autre loi, a-t-il expliqué.
Joint par l’Agence TAP, le parlementaire a affirmé que plusieurs contacts ont été établis entre des représentants de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA) dans le gouvernorat du Kef et des représentants de la Chambre Algérienne du Commerce et de l’Industrie (CACI) pour parvenir à des solutions de nature à rassurer les familles tunisiennes et algériennes.
Des députés algériens et tunisiens avaient convenu de tenir une réunion entre responsables des deux pays pour statuer sur la question de la taxe imposée par la Tunisie sur les véhicules.
Ce sont les chauffeurs de taxi algériens qui ont le plus manifesté leur colère vis-à-vis cette taxe dans la mesure où ils assurent trois voyages par jour.