
Petrofac compte également porter plainte auprès des tribunaux internationaux à l’encontre du gouvernement tunisien qui n’a pas su faire régner l’Etat de droit et protéger un investisseur étrangers des abus des occupants de son site de production à Kerkennah.
Un site qui abrite des camions pleins de compost et des produits dangereux. Le laxisme des autorités publiques tunisiennes depuis janvier 2016, leur démission face aux débordements de jeunes chômeurs et d’autres profiteurs du système a eu pour conséquence le départ définitif de la compagnie.




