Selon Omar Oualdani, directeur général du comité des examens nationaux auprès du ministère de l’Education, ce sont 220 cas de fraudes qui ont été enregistrés pour la session du baccalauréat 2016.
Cité par le site webdo.tn, Oualdani relativise l’importance de ce chiffre, tant ceux des années 2013 et 2014 étaient nettement supérieurs.
Il a expliqué la régression des tentatives de fraude par l’annulation des 25% calculés dans la moyenne de l’examen du baccalauréat et par les efforts du ministère de l’Education pour lutter contre ce phénomène.
Omar Oualdani a ajouté que les techniques utilisées pour la tricherie sont généralement les téléphones portables et le smartwatch.