
Pour le patron de Jeune Afrique, il s’agit d’une manœuvre visant à «berner les Occidentaux, qui les surveillent, et offrir aux Tunisiens un visage plus avenant». Le but ultime étant de «revenir au pouvoir, de le conquérir cette fois complètement, de faire occuper le palais de Carthage, c’est-à-dire la présidence de la République, par Rached Ghannouchi, au plus tard en 2019, et la Kasbah, c’est-à-dire la primature, par l’un des leurs…».
Cette affirmation de BBY est à prendre au sérieux, car ce monsieur se trompe rarement en la matière.




