A la suite au décès de Néjiba Hamrouni, journaliste et ancienne présidente du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), éteinte dimanche soir après un long combat contre la maladie, le ministère de la Culture et de la Sauvegarde du patrimoine a fait part de ses “condoléances à la famille de la défunte ainsi qu’à toute la famille médiatique”.
Dans un communiqué publié lundi après-midi, le ministère évoque la perte d’une “militante pour le mot libre, grande militante pour la déontologie du métier, connue pour son courage et sa résistance dans la lutte pour l’étique du métier et les causes justes”.
La défunte, lit-on encore, a laissé son empreinte dans l’histoire du journalisme et ses traces, celle d’une journaliste combattante qui a réussi à relever les défis lors des périodes les plus difficiles”.
La présidence de la République, la présidence du gouvernement ainsi que l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) ont adressé leurs condoléances à l’ensemble des journalistes tunisiens et aux membres de la famille de la défunte, louant les qualités d’une journaliste qui a beaucoup milité en faveur de l’indépendance de la profession, la liberté de la presse et les droits des journalistes.
Le SNJT a fait part, dimanche soir, du décès de son ancienne présidente, Néjiba Hamrouni, journaliste militante et figure de proue de la défense des libertés et de la profession dont “la disparation constitue une perte pour la famille médiatique élargie”.