Les chaînes privées non agréées devraient bientôt cesser d’émettre en Algérie. C’est en tout cas ce qu’a affirmé le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, lundi 23 mai 2016, lors d’un discours prononcé au Palais de la Culture à Alger.Le Premier ministre algérien aurait l’intention de partir en guerre contre le secteur audiovisuel en Algérie, qui, selon lui, est “livré à l’anarchie”.
Sellal a précisé que sur 60 chaînes de télévision qui diffusent en Algérie, seules cinq sont agréées par les autorités.
Il a également assuré que la loi sera appliquée dans toute sa rigueur.