Le torchon brûle entre le Maroc et le département d’État américain. L’objet de la controverse serait la publication d’un rapport par ce dernier sur les droits de l’Homme au Maroc, dont le contenu a été jugé «mensonger» et «scandaleux» par Rabat.
Le Maroc estime que ce rapport “est passé de l’approximation de l’information à son invention pure et simple, de l’appréciation erronée au ‘mensonge’ caractérisé”.
D’ailleurs, l’ambassadeur des États-Unis à Rabat, Dwight L. Bush, a été convoqué une première fois par le ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad, et une seconde fois par Nacer Bourita, ministre délégué aux Affaires étrangères.
Affaire à suivre…