
Le président du SNJT, Néji Bghouri, a affirmé, à cette occasion, que cette l’affaire de Sofiène Chourabi et Nadhir Katri est une question « primordiale » et « demeurera à l’ordre du jour (…) tant qu’ils ne seront pas de retour ».
S’exprimant au cours d’une conférence de presse consacrée à la présentation du rapport annuel sur la liberté de la presse en Tunisie, Néji Bghouri, a tenu à préciser que le SNJT a décidé de célébrer, pour la deuxième année consécutive, la journée de la liberté de la presse, sous le signe de « Nadhir et Sofiène, nous ne vous oublions pas ».
Youssef Oueslati, membre du SNJT, a, pour sa part, indiqué que le rapport consacre une grande partie à l’affaire Sofiène Chourabi et Nadhir Ktari, et ce pour souligner « le laxisme des autorités » vis-à-vis de cette question.
Il a, dans ce contexte, déploré le fait que la commission nationale chargée de lever le voile sur cette affaire « n’a pas encore été mise en place ». L’annonce de sa constitution avait été faite le 8 août 2015, a-t-il dit.




