Sévèrement critiqué pour son silence lors du tweet posté par Manuel Valls, le Premier ministre français, montrant un président Bouteflika pas très en forme, Amar Saâdani, le chef du FLN, a déclaré, lundi 2 mai 2016, lors d’un point de presse, qu’un simple tweet ne peut pas porter atteinte à un président élu par son peuple “à l’intérieur et non à l’extérieur des frontières algériennes”.
Saâdani a ajouté sur un ton ironique que le Premier ministre français (sans pour autant le nommer), a publié ce tweet, “puisqu’il n’a pas obtenu les contrats qu’il était venu chercher”.
Lire aussi :
La photo publié par Manuel Valls, en dit long sur l’état de santé du président Bouteflika