« Il n’y a pas de mosquées hors de contrôle mais plutôt des mosquées confrontées à des
problèmes fonciers », a indiqué samedi le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Khelil, lors d’une séance de travail à Béja.
Au cours de cette réunion, il a appelé les responsables régionaux à choisir minutieusement les cadres religieux pour qu’ils ne soient pas exploités à des fins partisanes.
Présents à la séance de travail, des imams et prédicateurs ont demandé la clarification des notions « mosquées hors de contrôle » « récupération des mosquées », plaidant à cet égard en faveur de l’organisation d’un dialogue national pour définir clairement de telles notions.
Par ailleurs, ils ont réclamé l’amélioration de la situation financière des préposés aux affaires religieuses et l’aplanissement des difficultés inhérentes au remplacement des cadres religieux.