Une étude publiée par le Small Arms Survey, et publié par la BCC, indique que le marché parallèle de vente d’armes s’est développé pour atteindre les réseaux sociaux, notamment Facebook. Le rapport précise que la plupart des transactions de ventes illégales d’armes en Libye passent par des groupes privés (secrets) sur la toile. Ce qui représente une violation des termes du réseau social, selon Mark Zuckerberg.
Les données utilisées dans cette étude ont été recueillies par Armament Research Services (ARES) sur un total de 1.346 ventes. Il ne s’agit, selon les chercheurs, que d’une fraction minime du commerce qui a lieu sur les réseaux sociaux.
Selon la BBC, la plupart des ventes sont concentrées dans les grandes villes, principalement Tripoli, Benghazi et Sabratha.
La même étude indique que le commerce se base sur des milices qui ont besoin d’armement pour combattre, et d’autres qui les vendent parce qu’elles n’en ont plus besoin, sachant que les vendeurs sont âgés entre 20 et 30 ans et les opérations commerciales se terminent souvent par des messages privés ou par téléphone.