Saïd Aidi, le ministre de la Santé publique, a indiqué lors du démarrage du sixième congrès national de néphrologie qui se tient à Sousse qu’en Tunisie près de 9.500 personnes souffrent de déficit rénal chronique et que la plupart ont besoin de greffe rénale.
Il a précisé que le traitement de cette maladie coûte à l’État 5% du budget réservé à la santé publique, d’où la nécessité de sensibiliser le public sur le don de rein.