
«C’est absurde pour la simple raison que notre système d’information est aujourd’hui reliée automatiquement à celui des municipalités. Nous sommes avisés en temps réel de la mort d’une ou d’un pensionné et nous procédons automatiquement à la suspension de sa pension. Il y a quelques exceptions où suite à une erreur on continue à dispenser les pensions pour un ou deux mois mais c’est vraiment exceptionnel».
Pour M. Dahman, ce genre d’incident est du menu fretin par rapport à l’essentiel et qui se rapporte principalement à la manière dont sont gérées aujourd’hui les caisses sociales. Ce qui pourrait mener à leur faillite définitive.
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