
La révolution tunisienne a, selon lui, raté sa chance historique, estimant que les prochaines élections seront décisives pour le processus démocratique engagé dans le pays.
Pour Moncef Marzouki, la lutte contre la corruption passe, nécessairement, par la protection des zones frontalières, le retour au dialogue national et l’impulsion du rôle de l’Etat dans la dynamique économique et de développement.
Il a également préconisé l’activation des accords de partenariat avec les pays frères et amis et la réduction des dettes agricoles, appelant aussi à cesser le recours à l’endettement extérieur.
Marzouki a appelé les médias à contribuer, activement, aux cotés des forces nationales, à la consolidation du processus démocratique et de développement dans le pays.
Le président d’Al Irada a rappelé que son parti vise à combattre la corruption, la pauvreté et l’illettrisme tout en oeuvrant à renforcer l’indépendance et l’identité nationales et à défendre les libertés.




