
Une technique qui permet de diminuer l’effet de cette substance sur le cerveau et donc de réduire la dépendance.
Testé sur des souris, le vaccin a permis de réduire les effets de la nicotine dans les dix minutes suivant l’injection. Plusieurs mois après l’injection, les taux de nicotine contenus dans les cerveaux des souris étaient également plus faibles.
Toutefois, malgré ces premiers résultats encourageants, la commercialisation d’un vaccin pour arrêter de fumer n’est pas encore d’actualité. D’ailleurs, le produit devra d’abord être retravaillé avant que des premiers tests cliniques ne puissent être effectués sur les humains.




