
Après chaque intervention militaire, il y a des secousses ». Pour lui cette attaque est «inédite dans son organisation, avec plusieurs cibles simultanées, et dans sa gravité, contre une caserne de l’armée, un poste de police et un centre de la garde nationale. Daech a franchi une étape dans ses opérations. Il n’a plus peur d’utiliser de grands moyens pour attaquer des bâtiments officiels d’importance ».a-t’il déclaré.
Quant à l’éventualité que Daech s’installe en Tunisie, le politologue algérien pense que « la menace est sérieuse ».




