C’est la garde présidentielle et le ministère de l’intérieur qui assureront la protection de l’instance nationale de lutte contre la corruption.
Dans une déclaration faite à Directinfo, Chawki Tabib, le pérsident de l’instance a affirmé avoir eu des garanties du Président de la République et du chef du gouvernement pour agir en toute liberté et en toute indépendance.
Rappelant à ce propos que la corruption coûte annuellement à l’économie tunisienne l’équivalent de 2% de son PIB, autant que la mauvaise gestion.
Le coût de la petite corruption est estimée annuellement à plus de 400 millions de dinars.