
“L’Etat doit actualiser le plan mis en place en 2014, et se préparer à faire face à toute urgence en Libye”, a déclaré Slim à l’agence TAP.
Le plan d’urgence élaboré par L’Etat tunisien et des organisations humanitaires internationales, a-t-il expliqué, prévoit d’installer les déplacés dans des résidences d’accueil situées dans les villes frontalières, et non dans des camps comme le cas en 2011, lorsque des milliers de déplacés avaient fui la guerre en Libye.




