
Ces cas de torture ont été relevés dans les centres de détention d’al-Aroussa et Makthar, dans le gouvernorat de Siliana. Les personnes placées en garde à vue ont été arrêtées lors des protestations réclamant le droit au développement et à l’emploi, a indiqué Jilani Hammami.
Selon le député, le FP est actuellement en train de collecter des données ainsi que des témoignages et des photos attestant ces violations “pour en faire usage en temps voulu”.
Le FP est intervenu “dans l’immédiat” auprès des hautes autorités sécuritaires pour “pointer du doigt le traitement illégal des jeunes manifestants et faire valoir le respect des procédures légales”, a-t-il souligné.
Il a, par ailleurs, fait remarquer que certaines personnes placées en garde à vue comparaîtront en état de liberté devant le tribunal les 8 et 9 mars prochain.




