Le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a recommandé vendredi la prudence aux journalistes lors de la couverture des protestations sociales.
Des débordements et des violences, notamment la nuit, ont émaillé les protestations sociales que connaît la Tunisie depuis plusieurs jours, poussant le gouvernement a décréter vendredi un couvre-feu nocturne (20h00-05h00) dans tout le pays.
Dans une déclaration, le syndicat appelle les organisations de la société civile à « assumer leurs responsabilités en encadrant les manifestations pour préserver leur caractère pacifique ».
Le SNJT qui met en garde contre l’utilisation de ces mouvements sociaux pour servir les plans des terroristes ou encore des agendas politiques « suspects », affirme son soutien total aux manifestations pacifiques.