Le verdict est tombé, les terroristes du 13 novembre n’étaient pas sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool, selon Le Parisien, qui l’a révélé ce mardi 05 janvier 2016 en s’appuyant sur le résultat des expertises toxicologiques effectuées sur les neuf terroristes décédés.
En effet, le rapport qui a été remis aux juges d’instruction fin décembre affirme que ces hommes «n’étaient ni drogués ni dopés».
Les seuls éléments trouvés sont des traces «infimes» de cannabis dans le sang de Brahim Abdeslam, qui renvoient sans doute à une consommation ancienne, et un taux d’alcool très faible dans le sang de Samy Amimour, qui ne signifie pas une consommation d’alcool ce jour-là, précise le rapport.