Une enquête préliminaire a été ouverte pour “diffusion d’images violentes” par le parquet du tribunal de Nanterre et ce suite à la diffusion sur Twitter mercredi 16 décembre 2015, par Marine Le Pen de photos montrant les atrocités commises par l’Etat islamique.
“Un service d’enquête spécialisé sera saisi jeudi”, a précisé le parquet de Nanterre qui a engagé cette procédure sur le fondement de l’article 227-24 du Code pénal.
Un délit qui peut être puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende “lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur”.