
C’est déclarations ont été démentis par l’ex-ministre de l’Intérieur, Ahmed Friaa, dans une intervention dans la même émission, précisant que la réunion du 14 Janvier 2011 a évoqué la question de la transition du pouvoir en application des articles 65 et 57 de la Constitution tunisienne et que personne n’a proposé le pouvoir à l’institution militaire.
On peut croire Friaa, car en janvier 2011, personne ne se rappelait de l’existence même d’Ennahdha jusqu’à aller préconiser qu’on craignait que ce parti prenne le pouvoir.
Ci-dessous l’extrait de l’émission avec l’intervention de Rachid Ammar :




