L’Association des magistrats tunisiens (AMT) a critiqué lundi le grand retard enregistré dans la mise en place des institutions judiciaires.
“L’ouverture solennelle de l’année judiciaire dans sa nouvelle forme ne doit pas occulter les difficultés de la situation dans le secteur de la justice et le retard dans l’installation des institutions judiciaires”, explique l’association dans un communiqué, citant le conseil supérieur de la magistrature et la cour constitutionnelle.
Il s’agit aussi du retard dans l’élaboration des textes organisant le nouveau pouvoir judiciaire dont la conséquence est “d’accroire la pression sur les magistrats”, indique l’association.