C’est les larmes aux yeux que je rédige ce papier après la «surprise» comme le dit la presse française par laquelle la patrie de HANNIBAL et de BOURGUIBA vient d’être choisie parmi 273 candidats et pas des moindres –LE PAPE, ANGELA pour ne citer que ceux qui avaient la faveur des bookmakers– pour ce prix à haute valeur symbolique.
Avoir ce prix ça ne sert peut-être à rien comme diraient certains. D’ailleurs est-il HALLAL? Mais ne pas l’avoir c’est pire!
La symbolique est ailleurs, ce n’est pas un homme qui a été désigné c’est un ensemble, et la TUNISIE c’est une société civile, un ensemble: des syndicats, des patrons, des avocats et des hommes et des femmes, et cet ensemble que d’autres veulent démolir au nom d’une politique qui n’avait d’autre objectif que de voir rouge et faire couler le sang.
On peut, peut-être, accuser MOEZ BEN GHARBIA et ce qui est arrivé au président de l’ETOILE de faire partie d’un coup monté pour résoudre des problèmes insolubles localement, mais le Comité du prix Nobel peut-il être accusé de complicité avec les acteurs politiques qui veulent nettoyer les écuries d’AUGIAS?
Ouf, ça rassure car passer du jihadisme et du terrorisme au NOBELISME cela a eu l’effet d’un bâton de dynamite dans le paysage des véreux de la politique!
Bonne chance la TUNISIE, ce prix arrive au bon moment pour faire oublier les drames qu’ils subissent depuis qu’ils ont osé. Alors je dis à mes compatriotes : OSEZ! OSEZ! OSEZ! OSEZ!