Après ses deux échecs initiaux en 1997 et en 2003, l’Union Sportive de la Médina d’Alger a enfin atteint son objectif, disputer une
finale de Ligue des champions d’Afrique. L’affaire avait en partie été réglée dès le match aller et la victoire à Omdurman dans le fief d’El Hilal (2-1). Le match retour au stade Omar-Hamadi de Bologhine a validé l’option même si le tableau d’affichage est demeuré virge pendant quatre-vingt-dix minutes.
Sans doute dans l’euphorie de la qualification promise, les joueurs de l’USMA se sont procuré beaucoup d’occasions dans la première moitié de la rencontre, Mohamed Meftah (5e), Zinedine Ferhat (7e), Mohamed Amine Aoudia (17e), Farouk Chafai (18e), Karim Baïteche (23e), à nouveau Ferhat (27e), qui auraient pu et dû aller au fond. En face les Soudanais, nettement dominés n’eurent qu’une franche opportunité, peu avant la fin du premier quart d’heure, par leur Brésilien Andrezinho qui se heurta à un Zemmamouche très vigilant sur sa ligne.
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