Qui peut croire encore à une finale cent pour cent égyptienne à l’issue de la 12e Coupe de la Confédération Orange ? Personne. A l’exception des dirigeants, joueurs et supporters du Zamalek. Car le club, cinq fois champion d’Afrique s’est mis dans de sales draps en concédant lors de la première manche de sa demi-finale une très lourde défaite à Sousse dans le fief de l’Etoile du Sahel (1-5).
Oui, au Caire, ils sont encore nombreux à penser, plus exactement à rêver, au plus grand come-back de l’histoire, un événement qui ne s’est jamais produit dans une épreuve où le plus grand écart en demi-finales depuis 2009 n’a jamais été supérieur à 2 buts. Le Zamalek, lui-même, dans toutes ses campagnes africaines n’a jamais réalisé semblable performance.
En 1976, les Chevaliers blancs avaient bien inscrit six buts en quart de finale retour de la défunte Coupe des vainqueurs de Coupe mais ils n’avaient été battus que par deux buts d’écart, à l’aller, face aux Ethiopiens de Mechal.
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