Vladimir Poutine n’a pas exclu des frappes russes lors de la réunion des chefs d’Etats qui s’est tenue au siège de l’ONU, lundi 28 septembre 2015, mais a en revanche écarté l’envoi de troupes de combat au sol pour lutter contre le groupe terroriste Daesh, mettant plutôt en avant sa volonté «d’aider davantage l’armée syrienne».
Toutefois Poutine n’a pas résisté à la tentation de tacler Barack Obama et François Hollande: «J’ai le plus grand respect pour mes homologues américain et français mais ils ne sont pas des ressortissants syriens et ne doivent donc pas être impliqués dans le choix des dirigeants d’un autre pays».