Le syndicat des fonctionnaires de la direction générale des unités d’intervention a exhorté vendredi les autorités de tutelle à réviser sa décision relative à l’application aux agents sécuritaires opérant sur terrain un horaire de travail de 12 heures/12 sur une période indéterminée.
Le syndicat a appelé à adopter des solutions alternatives pour l’organisation du travail sécuritaire pour faire face à la menace terroriste, ajoute un communiqué.
Le syndicat s’est, en outre, dit opposé à toute forme de surexploitation des ressources humaines sécuritaires sous prétexte de la guerre contre le terrorisme.