Sofiene Sliti, porte-parole du ministère public, a démenti les informations relayées sur le journal Assarih et rapportées par plusieurs médias et qui parlent de son affirmation que les analyses génétiques des cadavres découverts en Libye prouvent qu’ils ne sont pas ceux de Nadhir Guetari et Sofiene Chourabi.
«Aucune analyse génétique n’a encore été faite sur les cadavres découverts à Derna, a-t-il expliqué, étant donné que la région où ils ont été trouvés demeure hors du contrôle des autorités libyennes ce qui explique le non recours jusqu’à présent aux analyses génétiques pour les identifier». Autrement dit, rien ne confirme ou n’infirme la mort des deux journalistes tunisiens.