Le ministère saoudien des Affaires étrangères vient d’informer les autorités concernées du pays à savoir (les ministères de l’Industrie et du Commerce et le Conseil de la monnaie saoudienne), de faire preuve de «plus de vigilance» dans leurs transactions financières avec onze pays, dont l’Algérie et ce afin de «parer aux risques d’implication dans des affaires de blanchiment d’argent ou de financement de terrorisme». a rapporté le journal saoudien Mekka, dimanche 17 mai 2015.
Le gouvernement saoudien accuse l’Algérie, l’Equateur, l’Ethiopie, l’Indonésie, Myanmar, le Pakistan, la Syrie, la Turquie et le Yémen de «ne pas respecter leurs engagements dans le cadre du Groupe d’action financière contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme .
Le rapport cite aussi l’Iran et la Corée du Nord sur sa liste de pays «se refusant à toute coopération» dans la lutte contre ces deux fléaux.
C’est un peux ironique comme accusation, surtout que nous savons tous que l’Algérie à toujours lutter et plus encore souffert du terrorisme.