Est-ce à 88 ans que BCE va commencer une carrière de dictateur?

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J’ai toujours considéré que l’excès de liberté tue la liberté, tout comme l’abus d’alcool fait dissoudre le foie, et une liberté d’expression abusive sombre dans la cacophonie! Aujourd’hui dans ce paysage politique qui se recompose, ceux qui parlent le moins se font le plus critiquer et vilipender par une presse qui a pris l’habitude de traîner dans la boue des gens qui, politiquement, n’étaient déjà pas très, très propres!

Alors on en entend des choses, et FACEBOOK est souvent devenu une mauvaise caisse de résonance pour une mauvaise musique jouée par des musiciens de mauvais aloi équipés d’instruments mal accordés!

J’avoue rester très sensible aux attaques qui touchent notre VIEUX SAGE qui essaie un tant soi peu de redorer le blason d’un pays que 4 années de dysfonctionnement ont martyrisé et a vu son image de marque quelque peu ternie par des apprentis sorciers qui n’auraient jamais dû quitter leur exil doré.

BCE, lui dans sa position aujourd’hui, a à résoudre en quelque sorte la quadrature du cercle dans un environnement vicié par un gourou omniprésent et qui mue tous les jours un peu plus et même commence a se débarrasser de ses colis encombrants pour voler encore plus haut et rester dans le paysage, par un système politique hésitant où l’on ne sait plus qui est pour et qui est contre. Enfin, par un syndicat qui présente sa note trop vite après avoir défendu avec acharnement le pays durant les 4 années les plus sombres de son histoire…

On peut se demander si un régime parlementaire n’est pas antinomique avec un homme qui a passé la majorité de sa vie politique dans un système présidentiel. Et c’est là où se pose le problème de ce système imaginé par le vicieux gourou qui n’a pas changé ses convictions d’un iota: démolir le pays et l’Etat!

Le VIEUX SAGE, comme l’a si bien appelé HELE BEJI, le sait et le sait bien et sait aussi que de JEUNES CONS attendent dans l’ombre l’heure fatidique! Et l’homme, dans son silence carthaginois, construit, fait et défait, agit dans l’ombre, et ce avec la collaboration d’un homme réputé pour sa discrète efficacité, efficacité qui commence à donner ses fruits et les contre-effets sont à la hauteur de la réussite de cette équipe… Mais le pire a été atteint avec la tentative de bardolisation du pays par une attaque simultanée de l’économie, de l’histoire et de la politique.

Pendant ce temps-là, les négativistes de tout bord et qui croient défendre les droits de l’Homme –et jamais ceux de la femme– cherchent à mettre les bâtons dans les roues et utiliser tous les moyens –même patronymiques– pour faire du tort à un gouvernement qui essaie de faire ce qu’il peut avec ce qu’il a.

Dans ce cas, faudra-t-il que BCE finisse par prendre le taureau par les cornes, trouver une faille dans le système législatif et exiger que tout le monde se remette à travailler, que la presse arrête son bavardage et que les journées d’inactions des syndicats cessent?

IL EST AINSI PERMIS DE REVER!