L’ancien président de la République, Moncef Marzouki a affirmé, samedi, que « la rupture des relations diplomatiques avec le régime syrien est le moins que l’on puisse faire en comparaison avec les crimes sans précédent commis contre le peuple syrien » « Ces crimes sont les plus horribles de l’histoire arabo- musulmane », a-t-il indiqué à l’ouverture du congrès constitutif du Mouvement du peuple des citoyens.
Marzouki avait décidé, en février 2012, la rupture des relations diplomatiques avec la Syrie. Tout en faisant le signe de Rabaa, (main aux quatre doigts levés et au pouce replié), Marzouki a, également, réclamé la libération de l’ancien président égyptien Mohamed Morsi et tous les prisonniers politiques. Il a, aussi, fustigé la peine de mort prononcée contre des hommes politiques égyptiens.