Pour le parti Al-Massar, l’avènement d’un front national contre le terrorisme et fondé sur les idéaux démocratiques et les valeurs de la République “ne doit pas associer des parties prenantes politiques connues pour leurs accointances idéologiques et politiques avec les milieux terroristes régionaux et de l’intérieur et pour leur connivence avec ceux qui ont usé de la violence et du terrorisme contre le peuple tunisien et ses élites”.
Ces gens “doivent maintenant procéder à leur autocritique et demander pardon au peuple tunisien pour toutes les exactions qu’ils avaient commises durant leur pouvoir à l’endroit des Tunisiens et pour leur connivence avec les milieux terroristes”, souligne lundi Al-Massar, dans une déclaration.
Ce parti s’estime “concerné par les appels à l’unité nationale à teneur patriotique, démocratique et sociale, pourvu qu’ils n’associent pas Ennahdha tant que ce mouvement ne procède pas aux remises en questions idéologiques et politiques qui en feraient un mouvement politique civil, au même titre que les autres partis”.