Dans son édition du dimanche 22 mars 2015, le journal en arabe Alchourouk affirme que le risque d’un attentat visant l’Assemblée et le musée du Bardo avait été signalé aux autorités 24 heures avant et qu’une demande de renforts sécuritaires dans la zone avait été formulée, mais elle est restée sans suite en raison d’un manque de moyens, affirme le journal.
Le journal affirme que les terroristes étaient plus nombreux à l’extérieur et qu’ils avaient l’intention d’attaquer d’autres lieux de destination des groupes de touristes, dont la cathédrale de Tunis ou encore les hôpitaux qui allaient accueillir les blessés.
Alchourouk affirme encore que cet échec sécuritaire aura des conséquences sur l’organigramme des départements sécuritaires au ministère de l’Intérieur.