Angoissant certains et faisant envier d’autres, le mythe du vendredi 13 reste d’appoint jusqu’à ce jour. Figurez-vous bien qu’il a même sa propre phobie la «paraskevidékatriaphobie».
Si on remonte un peu dans l’histoire, on trouve que dans la majorité des cultures, le mythe du vendredi 13 serait d’origine biblique en faisant allusion au dernier repas du Christ qui avait réuni 13 personnes autour d’une table, mais aussi au vendredi durant lequel il fut crucifié.
Après de longues années où ce jour dit «maudit» suscitait le scepticisme des personnes les plus superstitieuses, la donne change quand l’amalgame de ces deux superstitions du vendredi et du chiffre 13 se transforme en chance avec l’hypothèse qui affirme que leur assemblement annule l’effet guignard de chacun d’entre eux, faisant ainsi de chaque vendredi 13 un jour rayonnant sous les projecteurs de la chance.
Entre ceux qui restent sceptiques en évitant tout porte malheur tel que la passage sous une échelle, ouvrir un parapluie à la maison ou encore casser un miroir, et ceux qui cassent du verre blanc, portent un fer à cheval ou encore choisissent ce jour pour tenter leur chance aux jeux du hasard, ce fameux vendredi 13 reste encore un jour fétiche pour le commun des mortels.
Montrant le bout de son nez entre une et trois fois par an, le vendredi 13 marquera à trois reprises cette année 2015 à savoir, le 13 février, le 13 mars et le 13 novembre.