
40% de cette souscription provient d’investisseurs américains, 29% de Grande Bretagne, 20% d’Europe et 10% du moyen-Orient.
Il a également réaffirmé qu’il s’agit d’une opération réussie si l’on considère les taux d’intérêts appliqués sur des emprunts soumis par des pays à risque.




