Un groupe de jeune des zones voisines de la zone Industrielle de Gabès a levé le sit-in qu’il avait organisé, lundi, aux entrées du Groupe chimique tunisien (GCT).
Ils ont considéré, dans une déclaration aux médias, avoir “adressé un message au gouvernement lui demandant de respecter un ancien engagement concernant le recrutement de 170 jeunes dans le GCT”, menaçant, toutefois, d’accentuer leur mouvement en cas de non-respect de cet engagement qui remonte au gouvernement de Hamadi Jebali.
Le groupe de jeunes avait bloqué auparavant les entrées menant au GCT pour demander d’obtenir des contrats d’embauche dans la Société de l’environnement et du jardinage créée par le Groupe, après la révolution, ou le GCT lui-même. Ils estiment que ces “contrats de travail représentent une compensation aux dégâts causés par la pollution industrielle provenant de la transformation du phosphate”.