Dans une chronique sur France Inter, Antony Bélanger a comparé l’élection présidentielle à une élection Suisse ou Néerlandaise, “les Tunisiens ont préféré envoyer à Carthage un vieillard de 88 ans, les Tunisiens ont élu un pape de transition”.
Dans une chronique sur France Inter, Antony Bélanger a comparé l’élection présidentielle à une élection Suisse ou Néerlandaise, “les Tunisiens ont préféré envoyer à Carthage un vieillard de 88 ans, les Tunisiens ont élu un pape de transition”.