L’activité au poste frontalier de Ras Jedir est devenue, mardi après-midi, quasiment nulle, à la suite des bombardements menés contre les villes libyennes de Boukammach et Ajilet, situées à quelques kilomètres des frontières avec la Tunisie, a déclaré à l’Agence TAP le général de l’armée nationale Mourad Mahjoubi.
Après un retour, ce matin, à la normale, l’activité au poste frontalier de Ras Jedir est devenue, l’après-midi, faible, voire absente, en raison de la montée de la tension dans ces deux villes libyennes, a-t-il noté. Selon le responsable militaire, les forces militaires sont en état d’alerte et prêtes à faire face à tous les scénarios possibles.