En Irak, les chemins de fer sont désormais entre les mains de l’organisation de l’Etat islamique Daech. Les Irakiens doivent donc se contenter d’un seul tronçon, entre Bagdad et Bassora, la grande ville du Sud.
Symbole d’un rêve, celui d’un pays uni, le vaste réseau construit par les Anglais pendant la première moitié du XXe siècle devait être rénové.