Sous le haut parrainage de M. Jack Lang, Président de l’Institut du monde arabe, la Tunisie sera rythmée de nouveau par une seconde édition des Dunes Électroniques qui aura lieu du 20 au 22 février 2015.
Cette année, le festival proposera une programmation pluridisciplinaire et de nouvelles passerelles artistiques entre les rives de la Méditerranée.
Les 21, 22 et 23 février 2014, la région de Nefta, au sud ouest de la Tunisie, accueillait la première édition des Dunes Electroniques. Pendant trois jours, plus de 7.000 spectateurs, venus de tous horizons, ont répondu à l’appel des pulsations électroniques, transformant ce festival de musique en une véritable communion populaire.
La programmation musicale, cosmopolite, intégrera certains des acteurs les plus en vue de la scène électronique, qu’elle soit tunisienne (Hearthug, Enfants Malins, SKNDR, Znaidi, Deena Abdelwahed, Haze-M, Fabrika Crew, …), française (Julian Jeweil, Popof, N’to, Car dini & Shaw, Fakear, …) ou internationale (Derrick May, Kölsch, Francesco Tristano, …)
Les organisateurs ont ainsi proposé à Stéphane Brasca, directeur de la rédaction du magazine de l’air, d’animer une résidence photographique à Nefta. Celui ci a invité le photographe Olivier Roller à porter un regard sur la ville, ses environs, ses habitants et/ou son festival.
Autre rendez-vous d’envergure, MONOLITH, installation visuelle et sonore immersive, création du compositeur mexicain Murcof et de l’artiste/coder Simon Geilfus, proposée par le label ANTIVJ, pionniers du “live audiovisuel” et l’Institut Français de Tunis. Une expérience physique et contemplative, qui offrira un moment de suspension, hors du temps.
La scène cinématographique tunisienne sera également mise à l’honneur, avec la création d’un cinéma éphémère au cœur de la palmeraie de Nefta, dans le Dunes Electroniques Café. Les habitants et festivaliers pourront découvrir une sélection de fictions et documentaires, témoins de la formidable effervescence du cinéma tunisien.
Enfin, le festival proposera, via une carte blanche confiée à Jean Florès, directeur du Théâtre de Grasse, un dialogue entre musique électronique et danse contemporaine & urbaine.
Une dimension pluridisciplinaire qui correspond à un désir de croiser les pratiques artistiques, d’enrichir le son par l’image, d’offrir aux habitants de Nefta et aux festivaliers un spectacle inédit.
« Nous espérons vous compter parmi celles et ceux qui écriront le second chapitre de cette belle histoire. » conclut les organisateurs du festival.